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S'abonner au flux RSSRevenir à la liste des articlesRezo Pouce, ICOM 21 et le design thinking
Rezo Pouce est le premier réseau français d’autostop organisé et sécurisé, spécialiste des courtes distances, en milieu rural ou péri-urbain. Créée en 2012 à Moissac, sous une forme associative (Covoiturons sur le pouce) par une dizaine de collectivités du Tarn-et-Garonne, Rezo Pouce est devenue une SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif) qui opère dans la France entière avec plus de 1000 communes adhérentes cette année !
Rezo Pouce offre une mobilité alternative, sobre en carbone et partagée. Rezo Pouce veut contribuer à contenir sous les 2°C l’augmentation de la température moyenne de la planète, en cohérence avec l’accord de Paris signé lors de la COP 21. Pas moins.
Bien que l’offre de Rezo Pouce soit particulièrement bien adaptée aux problèmes des petits trajets en secteur rural et semi-urbain, elle nécessite un vrai changement de comportement pour s’imposer. Faire de l’autostop son mode alternatif de déplacement, n’est pas naturel ! Pour développer la pratique de l’autostop, jouer dans la cour des grands, Rezo Pouce avait donc besoin de transformer son modèle actuel de communication… et a choisi ICOM 21, la filiale DD de l’Agence ICOM.
Notre proposition de valeur est d’accompagner les organisations qui inventent le monde de demain. Et ne nous y trompons pas, avec Rézo Pouce et l’autostop, il s’agit bien d’alternatives pour demain. Et nous sommes fiers d’y participer de façon innovante.
Notre expertise en accompagnement au changement de comportement – avec la communication engageante, les nudges (une incitation douce au changement née de l’économie comportementale) - a convaincu Rezo Pouce de choisir notre agence hybride. Nous avons donc commencé par le vrai début : élaborer une expérience utilisateur réussie, c’est-à-dire ré-inventer la communication de Rezo Pouce par le design thinking.
comment rendre l’autostop populaire aux yeux des autostoppeurs et des conducteurs ?
Lors d’une première séance (phase d’inspiration et d’idéation), animée par Mélanie Grillou, notre facilitatrice (inspirante cela va sans dire), nous avons travaillé sur l’émotion et fait émerger des insights utilisateurs. Nous avons pu lister et comprendre leurs freins et leurs aspirations. Florilège : « j’ai l’air de quoi sur la route ? », « l’autostop c’est d’un autre temps », « c’est trop risqué », « on va perdre son temps ».
La phase d’après, le prototypage, c’est le processus de génération de solutions, de développement et de test d’idées qui proposent des solutions. Et dans ce cas précis des réponses à la question « comment rendre l’autostop populaire aux yeux des autostoppeurs et des conducteurs ? » Nous avons tout débattu y compris les a priori de communication dans une démarche itérative. Il nous faut désormais formaliser un nouveau protocole de communication et tester une ou deux solutions, accompagnées du récit qui va avec. Et enfin élaborer une nouvelle approche plus engageante de la communication, potentiellement associée aux nudges pour une nouvelle communication autour d’une expérience utilisateur enrichie.
À suivre dans les semaines qui viennent.
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Le design thinking est l’une des méthodes les plus efficaces pour innover et prototyper de nouveaux concepts en adoptant une approche « user centric » (centrée client) améliorant ainsi l’expérience utilisateur. Chez ICOM comme ICOM 21, cette approche d’innovation collaborative utilisant la pensée design fait aujourd’hui partie de nos prestations innovantes. Cette technique fait écho à notre méthode de co-création Alchimie©.