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S'abonner au flux RSSRevenir à la liste des actualitésInformation sur la situation de l'Agence #3
le 24 avril 2019
Tu sais quoi ?
L’agence de communication ICOM serait à vendre…
Cette affirmation vous risquez de l’entendre dans les prochaines semaines. Et il nous faut encore une fois expliquer sa genèse.
Ce n’est pas faute d’avoir depuis quelques mois communiqué sur notre situation avec une totale transparence; mais la situation d’une agence de 35 ans d’existence et qui occupe une place particulière dans le landerneau toulousain de la communication, peut provoquer raccourcis et autres fantasmes. Alors dans cet épisode 3, nous renouvelons notre approche de sincérité et souhaitons rétablir certaines vérités. Nous, agence ICOM, avons été victimes de la part d’une ancienne salariée d’une escroquerie de grande envergure. Cette escroquerie caractérisée, a consisté en un détournement d’argent sur plusieurs mois.
L’enquête est en cours. Et nous ne pouvons en dire plus aujourd’hui. Le temps de la justice n’est pas le temps de l’entreprise.
Pour faire face à cette situation qui a mis à mal notre trésorerie et généré d’importantes dettes vis-à-vis de l’Etat et aussi de nos fournisseurs, nous avons fait le choix de demander notre mise en redressement judiciaire auprès du Tribunal de commerce de Toulouse. Choix entériné par ce dernier en date du 08 novembre 2018.
Depuis, nous mettons notre énergie à redresser la barre, à mobiliser nos équipes pour assurer la continuité de nos dossiers, de nos missions et de nos engagements. Nous suivons scrupuleusement les étapes et rendez-vous avec le Tribunal de commerce et le mandataire social pour répondre aux exigences inhérentes à ce type de situation.
Mais au-delà de l’impact de ce détournement, nous sommes confrontés à des problématiques connexes. D’abord identifier, caractériser, prouver, tracer les actes malveillants dont nous avons été victimes… pour mettre à disposition les éléments de preuves et comprendre. Puis, reprendre l’ensemble d’une comptabilité erronée et falsifiée… des travaux titanesques et fastidieux qui mobilisent des ressources et une direction qui seraient plus utiles à d’autres tâches, et notamment à créer de la valeur pour nos clients.
Enfin, nous souhaitions imaginer un projet, un avenir, une transformation… car la lutte pour survivre, quelle qu’en soit sa justification, ne peut être un leitmotiv durable pour embarquer nos parties-prenantes et créer suffisamment de synergies positives pour l’avenir. Devant ces faits, et avec une grande lucidité, nous avons décidé qu’aujourd’hui, et sans une décision de justice rapide qui pourrait nous faire recouvrer très rapidement les fonds détournés, nous ne pourrions pas nous en sortir seuls. Nous avons reçus des sollicitations, des propositions que nous avons étudiées. Nous avons pris le parti de travailler à notre reprise par un tiers. Une reprise éventuelle que nous avons assortie de nos conditions. Celle-ci doit permettre à l’ensemble de nos salariés de continuer l’aventure. Elle doit garantir notre indépendance de convictions, d’engagements, de compétences métiers pour une communication responsable, utile et engagée envers des projets à impacts positifs. Elle doit conserver l’esprit ICOM, la marque ICOM, les valeurs ICOM. Et nous avons eu des propositions de reprise qui nous garantissaient cela. Nous avons donc sollicité auprès du mandataire, la nomination d’un administrateur qui aura en charge le processus de cession de l’activité. Le Tribunal de commerce conscient de notre situation, et avec bienveillance, a nommé très rapidement l(e 28 mars) Maître Christian Caviglioli, en qualité d’administrateur judiciaire en vue de procéder à la cession. Ce dernier est le seul à même de mener les tractations et modalités de cession. Et nous avons incité nos interlocuteurs à présenter leurs projets de reprise. Alors oui à cette étape il est dit que notre agence est à céder, c’est la procédure dîtes de publicité. Mais nous restons extrêmement vigilants pour qu’elle le soit dans les conditions que nous avons préalablement définies.
Voilà où nous en sommes… et nous vous dirons comme toujours quelles décisions et quelles perspectives pour demain adviendront de cette nouvelle étape.
L’agence de communication ICOM serait à vendre…
Cette affirmation vous risquez de l’entendre dans les prochaines semaines. Et il nous faut encore une fois expliquer sa genèse.
Ce n’est pas faute d’avoir depuis quelques mois communiqué sur notre situation avec une totale transparence; mais la situation d’une agence de 35 ans d’existence et qui occupe une place particulière dans le landerneau toulousain de la communication, peut provoquer raccourcis et autres fantasmes. Alors dans cet épisode 3, nous renouvelons notre approche de sincérité et souhaitons rétablir certaines vérités. Nous, agence ICOM, avons été victimes de la part d’une ancienne salariée d’une escroquerie de grande envergure. Cette escroquerie caractérisée, a consisté en un détournement d’argent sur plusieurs mois.
L’enquête est en cours. Et nous ne pouvons en dire plus aujourd’hui. Le temps de la justice n’est pas le temps de l’entreprise.
Pour faire face à cette situation qui a mis à mal notre trésorerie et généré d’importantes dettes vis-à-vis de l’Etat et aussi de nos fournisseurs, nous avons fait le choix de demander notre mise en redressement judiciaire auprès du Tribunal de commerce de Toulouse. Choix entériné par ce dernier en date du 08 novembre 2018.
Depuis, nous mettons notre énergie à redresser la barre, à mobiliser nos équipes pour assurer la continuité de nos dossiers, de nos missions et de nos engagements. Nous suivons scrupuleusement les étapes et rendez-vous avec le Tribunal de commerce et le mandataire social pour répondre aux exigences inhérentes à ce type de situation.
Mais au-delà de l’impact de ce détournement, nous sommes confrontés à des problématiques connexes. D’abord identifier, caractériser, prouver, tracer les actes malveillants dont nous avons été victimes… pour mettre à disposition les éléments de preuves et comprendre. Puis, reprendre l’ensemble d’une comptabilité erronée et falsifiée… des travaux titanesques et fastidieux qui mobilisent des ressources et une direction qui seraient plus utiles à d’autres tâches, et notamment à créer de la valeur pour nos clients.
Enfin, nous souhaitions imaginer un projet, un avenir, une transformation… car la lutte pour survivre, quelle qu’en soit sa justification, ne peut être un leitmotiv durable pour embarquer nos parties-prenantes et créer suffisamment de synergies positives pour l’avenir. Devant ces faits, et avec une grande lucidité, nous avons décidé qu’aujourd’hui, et sans une décision de justice rapide qui pourrait nous faire recouvrer très rapidement les fonds détournés, nous ne pourrions pas nous en sortir seuls. Nous avons reçus des sollicitations, des propositions que nous avons étudiées. Nous avons pris le parti de travailler à notre reprise par un tiers. Une reprise éventuelle que nous avons assortie de nos conditions. Celle-ci doit permettre à l’ensemble de nos salariés de continuer l’aventure. Elle doit garantir notre indépendance de convictions, d’engagements, de compétences métiers pour une communication responsable, utile et engagée envers des projets à impacts positifs. Elle doit conserver l’esprit ICOM, la marque ICOM, les valeurs ICOM. Et nous avons eu des propositions de reprise qui nous garantissaient cela. Nous avons donc sollicité auprès du mandataire, la nomination d’un administrateur qui aura en charge le processus de cession de l’activité. Le Tribunal de commerce conscient de notre situation, et avec bienveillance, a nommé très rapidement l(e 28 mars) Maître Christian Caviglioli, en qualité d’administrateur judiciaire en vue de procéder à la cession. Ce dernier est le seul à même de mener les tractations et modalités de cession. Et nous avons incité nos interlocuteurs à présenter leurs projets de reprise. Alors oui à cette étape il est dit que notre agence est à céder, c’est la procédure dîtes de publicité. Mais nous restons extrêmement vigilants pour qu’elle le soit dans les conditions que nous avons préalablement définies.
Voilà où nous en sommes… et nous vous dirons comme toujours quelles décisions et quelles perspectives pour demain adviendront de cette nouvelle étape.